Stabat Mater de Pergolese
De Heinrich Schütz qui adapte sa musique au discours de la Réforme selon une symbolique toute religieuse à Giovanni Pergolesi qui, dans une sorte d’expressionnisme latin, nous entraîne dans une extase mystique, le contraste ne peut être plus saisissant.
Programme
- Schütz : Symphoniae sacrae SWV 258, 257, 259 et 348, pour soprano et alto
- Bach : Cantate BWV 200 Bekennen will Ich seinen Namen (Je veux reconnaître son nom), pour alto
- Pergolesi : Stabat mater dolorosa, pour soprano et alto
Distribution
- Ensemble Stradivaria
- Daniel Cuiller, direction
- Maylis de Villoutreys, soprano
- Paul Figuier, alto
De Heinrich Schütz qui adapte sa musique au discours de la Réforme selon une symbolique toute religieuse à Giovanni Pergolesi qui, dans une sorte d’expressionnisme latin, nous entraîne dans une extase mystique, le contraste ne peut être plus saisissant. Dans un même moment de communion musicale, rapprochons donc une certaine austérité qui n’exclut pas la grâce chez l’un à l’expression lyrique chargée d’émotion chez l’autre, visions antagonistes qui se rejoignent cependant sous la forme d’une prière commune, à laquelle Bach s’associe avec ferveur dans sa cantate, dédiée à la Gloire du Très haut.
Important
Accès unique pour les concerts de 20h par le 129 rue de Grenelle (Face au pont Alexandre III).
Il est nécessaire d'acheter ses billets à la billetterie sur place de 10h à 17h30 ou en ligne