
Horizons lointains
Le timbre envoûtant de Marie-Laure Garnier s’harmonise idéalement avec la flûte de Juliette Hurel et le piano de Tristan Raës, dans Shéhérazade de Ravel, évoquant un Orient imaginaire et fantasmé.

© Jean-Baptiste-Millot
Le timbre envoûtant de Marie-Laure Garnier s’harmonise idéalement avec la flûte de Juliette Hurel et le piano de Tristan Raës, dans Shéhérazade de Ravel, évoquant un Orient imaginaire et fantasmé. Le violoncelle si sensible d’Aurélien Pascal nous relate le poème épique de Pohadka de Janáček. Roussel et Jolivet puisent leur inspiration dans la mythologie et précèdent les poignants Chants tziganes de Dvořák. Sur un poème de Hölderlin, la pièce de Kaija Saariaho esquisse un parallèle entre le cycle des saisons et la destinée humaine.
Programme
Ravel, Shéhérazade, cycle de trois mélodies, pour voix, flûte et piano (sur des poèmes de Tristan Klingsor)
Janáček, conte Pohadka ou Légende du Tsar Berendei, opus 16, pour violoncelle et piano (d’après le poème épique de V. Zhukovsky)
Roussel, Joueurs de flûte, opus 27, pour flûte et piano
Dvořák, cycle de mélodies Zigeunermelodien / Chansons tziganes, opus 55, pour voix, violoncelle et piano, Extr. n°2 Ei ! Ei, wie meinTriangel!, n°4. Als die alte Mutter, n°5. Reingestimmt die Saiten! (sur des textes du poète tchèque Adolf Heyduk)
Jolivet, Chant de Linos, pour flûte et piano
Saariaho/Hölderlin, Die Aussicht, pour soprano, flûte, violoncelle et piano
Distribution
Marie-Laure Garnier, soprano
Juliette Hurel, flûte
Aurélien Pascal, violoncelle
Tristan Raës, piano
Cycle Tout un monde lointain...
Important
Accès unique pour les concerts de 20h par le 129 rue de Grenelle (Face au pont Alexandre III).
Il est nécessaire d'acheter ses billets à la billetterie sur place de 10h à 17h30 ou en ligne