Militaires et sportifs. Ça match !
À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le musée de l’Armée décrypte les liens profonds qui unissent l’institution militaire et le domaine sportif, chacun puisant dans l’autre pour mieux s’élever.
L’aguerrissement des combattants, s’il a toujours fait partie des préoccupations du Haut commandement, s’institutionnalise dès 1852 avec la création de l’école nationale militaire de gymnastique de Joinville, à l’origine du célèbre « bataillon de Joinville » et de l’actuel Centre national des sports de la Défense (CNSD). La prise en compte de l’activité sportive au sein des armées répond à trois objectifs : l’entrainement physique des soldats, la reconstruction par la réinsertion des militaires blessés, et le rayonnement de la nation par le sport de haut niveau.
À l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, par l’intermédiaire de ses collections et des prêts de divers champions, le musée de l’Armée décrypte les liens profonds qui unissent l’institution militaire et le domaine sportif, chacun puisant dans l’autre pour mieux s’élever.
Commissariat
- Vincent Giraudier, chef du département de l’historial Charles de Gaulle
- Christophe Pommier, adjoint au chef du département Artillerie
Visuel : Soldats jouant au football dans un champ © Paris, musée de l’Armée, Dist. RMN-Grand Palais