Un Orient imaginaire

Le programme s’ouvre avec la Marche triomphale de Aïda, opéra de Verdi, commandé par Ismaïl Pacha, sur un livret de l’égyptologue Auguste Mariette.

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Le programme s’ouvre avec la Marche triomphale de Aïda, opéra de Verdi, commandé par Ismaïl Pacha, sur un livret de l’égyptologue Auguste Mariette. Le concerto L’Égyptien de Saint-Saëns, composé à Louxor et au Caire et intégrant des sonorités égypto-orientales, y fait écho. Sa Suite algérienne évoque ses nombreux séjours à Alger. Inspiré par ses campagnes en mer à bord de son cuirassé La Provence, le Journal de bord de Jean Cras, brillant compositeur mais aussi officier de marine, célèbre inventeur d’une règle de navigation portant son nom, conclut ce concert.

Programme

Verdi, Grande marche triomphale extr. de I’opéra Aida 

Saint-Saëns, Concerto n°5 en fa majeur, opus 103, dit « L’Égyptien », pour piano et orchestre 

Saint-Saëns, Suite algérienne en ut majeur opus 60, Extr. Rhapsodie mauresque ; Rêverie du soir ; Marche militaire française 

Cras, Journal de bord, Suite symphonique

Distribution

Orchestre symphonique de la Garde républicaine Sébastien Billard, direction 

Soliste : Dana Ciocarlie, piano

Cycle Tout un monde lointain...